Comme pressenti depuis plusieurs semaines, le dossier Nicolas Otamendi devrait connaître son dénouement lors les derniers jours du mercato. Le joueur ferait d'ailleurs tout son possible pour quitter le FC Valence.

Otamendi fait le forcing

Avec les dossiers Pedro Rodriguez et David De Gea, le cas de Nicolas Otamendi reste un des derniers feuilleton de l'été. Voulant à tout prix quitter le FC Valence depuis l'ouverture du mercato estival, l'international argentin serait dorénavant prêt à partir au clash pour forcer son départ du club... comme le lui conseillait son agent dans le courant du mois de juillet.

Le défenseur aurait ainsi séché l'entraînement du club ché vendredi selon les affirmations du quotidien As. Marca révèle par ailleurs qu'une altercation aurait également éclaté récemment entre Nicolas Otamendi et Nuno, le coach des Valenciens. Le joueur aurait lancé à ce dernier : "Je ne vais pas jouer, j'ai joué assez de match". La réponse aurait été toute aussi limpide : "Je ne vais pas t'obliger, je veux seulement des personnes concernées."

Le match en question ? C'est le fameux barrage de Ligue des Champions face à l'AS Monaco. En cas de présence sur le terrain mercredi prochain du côté de Mestalla, l'Argentin serait contraint de rester au club durant la saison prochaine puisqu'il ne pourrait pas disputer cette même compétition avec une deuxième formation.

Manchester City prêt à contenter tout le monde

Récemment revenu aux nouvelles, Manchester City tiendrait une solution satisfaisante pour toutes les parties. Le Daily Mirror confie en effet que les Citizens songeraient s'attacher les services de Nicolas Otamendi en cédant Eliaquim Mangala dans la transaction. Débarqué à prix d'or l'été dernier, l'international français ne fait toujours pas l'unanimité à l'heure actuelle du côté de l'Etihad Stadium. Il pourrait ainsi faire l'objet d'un échange dans les prochains jours.

Cette proposition ne serait néanmoins soumise au club ché qu'en cas d'échec concernant la première offre mancunienne. Le FC Valence, qui réclamait initialement 50 millions d'euros dans cette transaction, serait finalement enclin à laisser la porte ouverte contre un chèque de 40 millions d'euros.