La Ligue de Football Professionnel avait promis de frapper fort... l'Olympique de Marseille n'écope pour le moment que d'un huis clos partiel à titre conservatoire, en attendant le nouveau rendez-vous programmé le 15 octobre prochain.
La LFP se contente du minimum
Les premières sanctions sont tombées ce jeudi soir concernant les débordements survenus dimanche dernier au Stade Vélodrome entre l'Olympique de Marseille et l'Olympique Lyonnais. La Ligue de Football Professionnel, soutenue par les pouvoirs politiques, confiait vouloir frapper fort. A l'heure actuelle, les Phocéens n'écopent que d'un huis clos partiel pour la prochaine venue du SCO Angers (dimanche, 14h00 sur beIN Sports 1).
A cette occasion, comptant pour la 8e Journée de Ligue 1, la rencontre s'effectuera ainsi dans un Stade Vélodrome privé de ses supporteurs dans les virages Nord et Sud. Aucune sanction n'a encore directement été prise à l'encontre deVincent Labrune et de la direction du club. Le dossier reste néanmoins en instruction. Un nouveau rendez-vous est par ailleurs programmé le 15 octobre prochain, durant lequel le président de l'OM sera entendu.
Avec tout le cinéma effectué par les instances du football et les pouvoirs politiques, un simple huis clos ferait tâche aux yeux du grand public. D'autant plus que pour le moment, la direction marseillaise -principale responsable de ces laisser-aller dans ses travées- échappe à toute sanction.