Pour renforcer l’OM, Jacques-Henri Eyraud mise sur le partenariat avec les clubs amateurs de la région marseillaise. Mais pas que.

Eyraud vise des partenariats tous azimuts

L’Olympique de Marseille a trouvé un accord avec l’ASPTT Marseille. Ce club amateur de la région marseillaise vient s’ajouter à une liste de clubs de la région : le Burel FC, Luynes, Caillols…

Est-ce à dire que cette forme de partenariat ne se limitera qu’à la seule région de Marseille ? « Notre volonté c’est effectivement d’élargir ce type de partenariat, pourquoi pas sur l’ensemble du territoire français, pourquoi pas à l’étranger », a répondu Jacques-Henri Eyraud à Football Club de Marseille, à l’occasion de la signature du contrat OM Next Generation Champion.

Le président phocéen est d’autant encouragé à étendre ses tentacules en France et à l’étranger qu’il constate un véritable intérêt de la part des clubs amateurs. « Depuis que nous avons lancé cette démarche nous avons beaucoup de demandes de clubs qui souhaitent travailler avec nous autour de la formation. Il y a une dynamique nouvelle qui est en train de se créer », a-t-il révélé.

Mais Jacques-Henri Eyraud ne foncera pas la tête baissée. Il veut être méthodique dans son approche en consolidant d’abord les accords signés. « Ce que nous allons regarder c’est d’abord la capacité de bien faire vivre les partenariats existants », s’est-il voulu prudent.

Une prudence commandée par le fait que l’écurie olympienne n’a pas les moyens de travailler avec plus de 10 partenaires. « Nous n’avons probablement pas l’organisation aujourd’hui pour pouvoir travailler avec une dizaine de clubs, nous l’a bâtirons au fil du temps », a-t-il avoué.

D’où la volonté du responsable marseillais de s’accrocher solidement aux accords déjà en vigueur. « La priorité est d’installer un mode opératoire satisfaisant pour les écoles de foot avec qui nous tavaillons », a insisté le bras droit de Frank McCourt.