Aussi étonnant que cela puisse paraître, Antero Henrique ne supporterait pas l’attitude d’Adrien Rabiot et ferait exprès de laisser traîner le dossier de sa prolongation de contrat au PSG. C’est en tout cas une révélation livrée ce mardi par Daniel Riolo.
Rabiot doit partir !
Dans sa parution du lundi, le quotidien sportif L’Equipe a révélé que contrairement à Unai Emery, qui a installé le joueur dans son onze type, le nouveau directeur sportif du Paris Saint-Germain, Antero Henrique, ne serait pas convaincu par Adrien Rabiot. C’est pour cette raison que le Portugais ne se presserait pas pour entamer les discussions autour de son futur contrat.
Pour le journaliste Daniel Riolo, le patron du recrutement des Rouge et Bleu commencerait en réalité en avoir assez du comportement de l’international tricolore de 22 ans. Interrogé par le portail dédié au club parisien, Canal Supporters, le consultant de RMC va même plus pour demander le départ de l’enfant de Saint-Maurice.
« On va voir si Antero Henrique fait ce qu’il a commencé à faire depuis qu’il est là, en ne laissant plus passer les choses et en resserrant les boulons. Pour resserrer les boulons, Rabiot doit partir. Henrique en a marre de Rabiot et il y a de quoi. Avec lui, le PSG n’est jamais tranquille plus de deux mois. À intervalles réguliers, c’est un casse-burnes total.
Que ce soit par lui ou sa mère. Matuidi a quasiment été poussé vers la sortie pour faire de la place à Rabiot, pour une prolongation, parce que c’est le joueur estampillé PSG et que le club ne veut pas le voir briller ailleurs. Le PSG doit se foutre complètement de ce que feront les joueurs qu’il a formés ailleurs.
L’histoire de Rabiot à Paris est terminée parce que ce gars se pense au-dessus de tout. La façon dont il montre qu’il ne veut pas jouer 6 est insupportable ! Le PSG ne doit pas s’emmerder avec lui, il doit être plus fort que ça », a expliqué Riolo. Sous contrat avec son club formateur jusqu’en juin 2019, le joueur pourrait être vendu l’été prochain s’il ne signe pas un nouveau bail d’ici là. À suivre donc…