Flamboyant avec l’Olympique de Marseille, Maxime Lopez est très convoité en Liga. S’il ne cache pas que le championnat espagnol l’intéresse en retour, le jeune milieu de terrain n’est cependant pas pressé de quitter la formation olympienne.

Maxime Lopez pas pressé d’abandonner l’OM

Dans le dur lors de la première partie de la saison, l’OM a réalisé une remontée spectaculaire au classement de Ligue 1 en passant de la 10e à la 4e place suite à ses trois dernières victoires de rang. Une performance dont Maxime Lopez, titularisé dans l’entrejeu, est certainement l’un des plus grands artisans. De quoi affoler de nombreux clubs de Liga, dont particulièrement le FC Séville. Un intérêt auquel le joueur de 21 ans n’est pas insensible. Mais pas au point de quitter l’écurie phocéenne si tôt.

« Je vis toujours au présent. Au mois de janvier, j’avais besoin de me concentrer sur l’OM. Je kiffe le Championnat espagnol, je ne l’ai jamais caché, je regarde tous les matches le week-end. En janvier, j’aurais pu dire : »Je reste au chaud, je les laisse aller à la guerre et moi, je me trouve un prêt ou un transfert. » Mais moi, je ne réagis pas comme ça, je me dis : "Je vais jouer ici." », a expliqué Maxime Lopez avant de se souvenir : « Au début de la saison 2016-2017, je voulais partir en prêt car je sentais que je n’allais pas avoir ma chance, je pensais que c’était le moment. Puis au final, je me suis dit : »Je suis là, je reste, je vais essayer de m’imposer ici. » Le coach Franck Passi m’a fait entrer en cours de match, mais à cette période-là, je méritais de jouer plus, la préparation s’était très bien passée, j’avais marqué des buts en match amical. Et puis le coach Rudi Garcia est arrivé… »

Maxime Lopez n’est donc pas pressé de quitter l’OM. Serait-il alors disposé à prolonger ? « Des discussions pour une prolongation ? Non, pas pour l’instant. Je suis très bien à Marseille, mais la direction ne m’a pas contacté par rapport à ça. On verra bien », a répondu l’ex-pensionnaire du FC Burel dans L’Equipe.

Pas sûr que Jacques-Henri Eyraud et son staff ne pensent pas à prolonger le minot, considéré comme l’avenir du club.