FC Nantes : Rachat du FCN, un investisseur a contacté Kita

Waldemar Kita a déclaré que le FC Nantes n’est pas en vente, contrairement à ce que la rumeur persistait à soutenir. Toutefois, le média Hit West révèle que le président des Canaris a bel et bien reçu une offre d’un prétendant au rachat du club de la Cité des Ducs.

FC Nantes : Waldemar Kita n’est pas vendeur !

Le FC Nantes a vécu une saison dernière compliquée. Menacés de relégation, les Canaris ont dû passer par les barrages pour assurer leur maintien en Ligue 1. En plus des difficultés sur le terrain, le club est miné par une crise interne. Un groupe (Collectif Nantais), constitué de supporters, d’anciennes gloires et de partenaires du FCN exigent le départ de Waldemar Kita. Ils ont même réuni des fonds afin de racheter les Canaris. Les supporters Ultras, eux, ne veulent plus de l’homme d’affaires Franco-Polonais à la tête de leur équipe.

Répondant à ses détracteurs, ce dernier a déclaré que le FC Nantes n’est pas en vente. « Je ne peux pas être vendeur. Il n’y a pas de raison aujourd’hui de vendre », avait-il confié à L’Équipe, en juin. « Le club n’est pas à vendre […] C’est passionnel, charnel », avait insisté Franck Kita, Directeur général délégué des Jaunes et Verts, début juillet.

Offre de Charlier à Kita pour racheter le FCN ?

Si l’on en croit les informations de Hit West, Waldemar Kita avait pourtant reçu une proposition de l’homme d’affaires français, Christopher Charlier, via une lettre d’intention, en vue du rachat du FC Nantes. Les deux responsables se seraient même rencontrés en mars 2021, grâce à l’entremise du bras droit du patron des Nantais, Mogi Bayat. Un rendez-vous qui a été sans suite, à en croire la source. Elle précise en effet que les discussions ne se sont pas poursuivies et Christopher Charlier semble désormais « passé à autre chose ».

Pour rappel, Christopher Charlier (49 ans) avait été impliqué dans le dossier de l’acquisition des Nets du New Jersey devenus Brooklyn Nets (franchise de basketball en NBA), en 2009-2010. Cela, pour le compte du milliardaire russe Mikhail Prokhorov.