FC Nantes : La vérité sur les primes promises par Waldemar Kita

Président du FC Nantes, Waldemar Kita a pris un engagement fort au sujet des primes de fins de saison. Le président nantais a promis d’offrir une prime de 50 000 € à ses joueurs en cas de maintien du FCN en Ligue 1.

Pour le maintien du FC Nantes, Waldemar Kita donne tout

Le FC Nantes traverse une difficile saison. Après 36 journées, le club nantais occupe la 18e place de Ligue 1 à ce niveau de la compétition. Face à cette situation alarmante, Waldemar Kita a récemment rencontré l’effectif nantais pour motiver les joueurs à aller chercher le maintien du club dans l’élite du foot français. Le président du FCN s’est engagé à verser une prime exceptionnelle en cas d’atteinte de l’objectif.

Il compte verser 50 000 € à chaque joueur en cas de maintien. Cette promesse a d’ailleurs motivé les Canaris qui ont enchainé trois victoires consécutives. Mais selon les informations de l’insider Mohamed Toubacher-Ter, cette prime promise par Waldemar Kita serait en réalité encore plus élevée. Elle serait fixée à 80 000 € par joueur. Malgré la crise économique, le président du FCN a décidé de mettre la main à la poche pour éviter l’humiliation de la descente à son club.

Des supporters nantais « outrés »

Sauf que cette méthode ne plait pas à tout le monde. Au regard des performances bien en deçà des objectifs fixés en début de cette saison, de nombreux supporteurs nantais et membres du personnel se disent « outrés » par cette décision. Cette récompense a certes relancé l’envie de gagner chez les joueurs, mais l’entraineur Antoine Kombouaré avait déjà prévenu « Si tu travailles mal, tu vas en Ligue 2 et il y a une baisse de salaire très très forte. On sera alors tous sanctionnés ».

Les Canaris, barragistes à deux journées de la fin du championnat, n’ont donc aucun droit au relâchement. Ils devront impérativement s’imposer lors des deux derniers matchs, tout en espérant un faux-pas de Lorient afin d’éviter les barrages. La lutte pour le maintien sera palpitante jusqu’au bout.