Mercato PSG : Nouveau coup de pression du Paris SG sur Mbappé

Face aux envies de Kylian Mbappé de partir gratuitement l’été prochain, le PSG met un nouveau coup de pression à son attaquant.

Mercato PSG : Kylian Mbappé pourrait mettre son club dans l’embarras

Les discussions ont repris entre Kylian Mbappé et le Paris Saint-Germain. Mais visiblement, la relation entre les deux parties continue de se détériorer. Les différents agissements de l’attaquant français depuis le début de l’été ne sont absolument pas appréciés par les dirigeants parisiens, qui ne comptent pas céder aux caprices du joueur de 24 ans aussi facilement.

D’après les informations de L’Équipe, lors de sa prolongation de contrat l’année dernière, Kylian Mbappé avait promis à Nasser Al-Khelaïfi qu’il ne partirait pas libre du club de la capitale. Mais aujourd’hui, la donne est complètement différente, et l’attaquant français semble bien décidé à planter un couteau dans le dos au Paris Saint-Germain.

Un scénario terrible qui aurait en réalité des répercussions économiques bien plus importantes que prévues. En effet, le quotidien sportif explique qu’un départ libre de Kylian Mbappé pourrait mettre le PSG dans l’embarras vis-à-vis du fair-play financier, tout en précisant que le club serait dans l’obligation de vendre plusieurs éléments pour compenser cette perte d’argent colossale.

Le PSG maintient sa ligne de conduite

Toujours selon L’Équipe, le PSG reste camper sur ses positions en ce qui concerne Kylian Mbappé. À l’heure actuelle, deux options sont proposées à l’attaquant français. La première consiste à changer d’avis et lever son option avant le 31 juillet pour prolonger d’une saison supplémentaire et garantir à son club de pouvoir le vendre l’an prochain.

La deuxième option est une vente dès cet été, mais cette solution ne fait pas vraiment les affaires du PSG. En effet, en ayant fixé le prix de Kylian Mbappé à 200 millions d’euros, il est peu probable qu’un club soit enclin à se positionner sur le joueur de 24 ans alors qu’il sera libre dans un an. En clair, la situation devient difficilement gérable pour les dirigeants parisiens, qui se retrouvent avec une épée de Damoclès au-dessus de leur tête.