OL : Fabio Grosso dévoile ses objectifs contre le FC Lorient

Toujours à la recherche d’une première victoire, Fabio Grosso attend beaucoup de la réception de Lorient. L’entraîneur de l’OL a dévoilé ses objectifs à la presse.

OL : Fabio Grosso mise sur le temps pour sortir de la crise

C’est peu de dire que la situation de l’Olympique Lyonnais, dernier de Ligue 1, est alarmante. Pourtant, Fabio Grosso ne se veut pas défaitiste avant d’affronter le FC Lorient. Il faut dire que dans sa position d’entraîneur, il vaut mieux. Les supporters attendent désespérément une première victoire cette saison. Après 7 journées, les Gones n’ont inscrit que 2 petits points dans l’élite, grâce à des matchs nuls contre Le Havre (0-0) et Nice (0-0).

Présent en conférence de presse ce samedi, dans le cadre de la réception du FC Lorient, l’entraîneur rhodanien espère lancer une nouvelle dynamique. « On veut changer la dynamique, le droit et l’envie de le faire. On va essayer de le montrer à la maison. Je n’ai pas changé la méthode, je pense savoir d’où partir pour arriver là où on veut être. Le temps donne toujours raison au mérite » a-t-il expliqué aux journalistes.

L’objectif de l’OL n’est pas le maintien

Si l’Olympique Lyonnais a beaucoup de chemin à faire pour sortir de sa mauvaise passe, il va d’abord falloir gagner contre le FC Lorient. Et s’il y a quelques saisons, cela aurait été considéré comme une formalité, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Et ce, malgré la seizième place des Merlus en Ligue 1. La rencontre ressemble à un match de la peur, elle qui oppose deux formations en difficulté.

Pour Fabio Grosso, c’est l’occasion rêvée de faire un pas vers la résurrection. Il est vrai qu’en cas de succès, l’OL reviendrait à un point du barragiste lorientais. Le champion du monde 2006 a tenté de rassurer les supporters en réaffirmant son engagement : « Je suis concentré sur ce match, pour faire au mieux et au maximum. Le reste, je vous le laisse, je ne suis pas concentré sur le classement, ça viendra ensuite (…) Il y a encore 93 points en jeu, il y a encore beaucoup ». C’est maintenant ou jamais.