FC Lorient Mercato : Laurent Koscielny évoque son retour

Le FC Lorient s’apprête à affronter les Girondins de Bordeaux demain soir, l’occasion pour l’ancien Lorientais Laurent Koscielny d’évoquer ses souvenirs avec son ancien club qui l’a vu débuter et de s’exprimer sur son avenir après Bordeaux.

Nostalgie du FC Lorient

Laurent Koscielny a trouvé un second souffle dans sa carrière depuis son départ d’Arsenal au mercato de 2019 et son arrivée chez les Girondins de Bordeaux. Capitaine de l’équipe cette saison, Laurent Koscielny se dit heureux à Bordeaux mais il n’oublie pas ses débuts au FC Lorient. Le joueur qui a connu ses grands débuts avec les Merlus s’était déjà exprimé à ce sujet l’été dernier dans le Télegramme : « Lorient, c’est ma découverte de la Ligue 1. Pas mal d’anciens de Guingamp avaient fait le forcing pour que je signe : Le Lan, Yann Jouffre et « Tophe » Le Roux qui était recruteur au club mais avec qui j’avais joué à Guingamp. Bien sûr, aussi, le coach, Christian Gourcuff. C’était une superbe année. J’étais parti pour rester plus longtemps mais c’est un bon souvenir. »

Une carrière à la Hilton

L’ancien international français et taulier d’Arsenal a évoqué récemment dans une autre interview au Télégramme ses souvenirs au FC Lorient en évoquant la saison 2009/2010 de Ligue 1 : « Je pense que c’est l’une des meilleures saisons du FC Lorient. Sur le terrain, il y avait une excellent état d’esprit. Et quand vous avez la confiance de vos partenaires, de votre coach, tout est plus facile pour vous ». Le défenseur a également parlé de ses projets de fin de carrière en n’excluant pas la possibilité d’un retour au FC Lorient : « Il me reste un an et demi de contrat, a-t-il rappelé. On va d’abord aller au bout de celui-là. Et après, on verra. Comme j’ai pu le voir par le passé, dans une carrière, il y a des aléas. J’ai 35 ans et un contrat. Si j’arrive à faire une carrière à la Hilton qui joue toujours à 43 ans, peut-être que j’aurai les jambes pour une saison de plus à Lorient. Ça me laisse encore huit ans (…) On ne sait jamais… ».