FC Nantes : Ce que vise la plainte du président Waldemar Kita

Waldemar Kita, président du FC Nantes, a porté plainte suite aux nombreuses menaces de mort proférées contre lui par les supporters mécontents du FCN. Le dirigeant des Jaunes et Verts à une petite idée derrière la tête,

FC Nantes : Kita a décidé de porter plainte

Les supporters ultras du FC Nantes ne décolèrent pas. Leur club est certes maintenu en Ligue 1 aux dépens du Téfécé, mais cela ne suffit pas à alléger leur colère. Les fans des Canaris exigent toujours le départ de Waldemar Kita de la tête du FCN, son club. Ces dernières heures, ils ont envahi les réseaux sociaux de messages en tout genre contre le président du FCN et son bras droit Mogi Bayat.

« Mort ou vif la tête de ces deux personnes valent 5 000 000 € chacun #KitaOut #BayatOut #RendezNousLeFCN », ont balancé les supporters en colère. Face à ces menaces sur les réseaux sociaux, le président du FC Nantes a décidé de porter plainte. « Ces agissements irresponsables et inacceptables doivent être condamnés avec la plus grande sévérité. […] Bien évidemment, une plainte sera déposée dans les prochaines heures auprès du procureur de Nantes », indique le communiqué officiel des Canaris.

FCN : Kita compte bien arrêter mettre au pas les fans

Clairement, le président Kita malmené toute la saison qui vient de s’écouler a l’intention de mettre fin aux exagérations des fans. Alors qu’il joue son argent dans la gestion quotidienne du club, il est traité d’une façon qu’il trouve injuste par les fans Canaris, de moins en moins soucieux des limites à ne pas dépasser. Avec cette plainte, il compte bien mettre au pas ceux qui lui mènent gratuitement la vie dure.

Pour rappel, un groupe de supporters avaient enterré le cercueil du « FC Kita » près de la Beaujoire avant la confrontation pour le maintien en Ligue 1 entre Nantes et Toulouse FC. Un cercueil que l’agent de joueurs Bakari Sanogo et le directeur sportif officieux du FC Nantes, Mogi Bayat, ont déterré dimanche. Un acte qui a accentué la tension entre les membres du groupe la Brigade Loire et la direction nantaise.