Stade de Reims : Ekitike à Newcastle, la raison de son transfert raté

Très courtisé cet hiver, Hugo Ekitike est passé tout près d’un gros transfert. Le président du Stade de Reims, Jean-Pierre Caillot, justifie son départ raté.

Stade de Reims : Hugo Ekitike ne souhaitait pas quitter Reims

Le Stade de Reims a reçu des offres, dont une colossale de Newcastle United, pour Hugo Ekitike durant le mercato hivernal, qui a refermé ses portes à minuit. Mais le club de Ligue 1 n’a pas transféré ce dernier. Le jeune attaquant va donc finir la saison 2021-2022 dans la Marne. Quelques heures avant la clôture du marché des transferts, le président du SDR a expliqué pourquoi le club a repoussé l’importante proposition du club de Premier League. « Il est vrai que nous avons reçu de très belles offres pour Hugo Ekitike durant ce Mercato, mais notre volonté a toujours été de le conserver, au moins une saison entière. Nous partageons le sentiment qu’il reste encore un bout d’histoire à écrire ensemble », a justifié Jean-Pierre Caillot.

Selon le président, le jeune avant-centre aussi ne souhaitait pas quitter, de sitôt, le cocon familial de son club formateur, surtout pas en pleine saison. « Lui aussi ne souhaitait pas brûler les étapes, voulant s’inscrire sur la durée dans le projet de son club formateur, qu’il a rejoint à l’âge de 11 ans », a-t-il précisé dans un communiqué officiel.

Une grosse vente dans les tuyaux pour cet été

Outre les Magpies, la pépite de 19 ans intéresse trois grosses écuries européennes : Chelsea FC, le PSG ou encore le Borussia Dortmund. Lié au Stade de Reims jusqu’en juin 2024, Hugo Ekitike vaut 6 millions d’euros sur le marché des transferts selon le site spécialisé Transfermarkt. Le très prometteur joueur a inscrit 8 buts et délivré 3 passes décisives en 18 matches disputés en Ligue 1 cette saison. Vu le gros portefeuille des clubs intéressés par les services de l’Espoir français, en plus de la forte concurrence, nul doute que Jean-Pierre Caillot se prépare à une grosse vente lors du prochain mercato.