ASSE : Coup de froid, un milieu de terrain s’éloigne des Verts

Alors que des rumeurs envoyaient un milieu du Dijon FCO à l’ASSE, le journaliste Mohamed Toubache-Ter a démenti l’information.

L’ASSE s’active. Une semaine après le début de la trêve internationale marquée par la Coupe du Monde au Qatar, le club ligérien tente de préparer au mieux son avenir en Ligue 2. Avec une dernière place au championnat (11 points) après 15 journées, il est temps de sonner l’alarme. Pour remédier à cela, le président Jean-François Soucasse tente de renforcer l’équipe.

Alors que la cellule de recrutement devrait également voir l’arrivée de deux nouveaux membres en son sein, plusieurs noms ont été cochés concernant les joueurs. Selon les informations de Foot Mercato, Jodel Dossou (Clermont Foot) et Mattéo Ahlinvi (Dijon FCO) feraient partie de la liste. Pourtant, ce n’est pas de l’avis de Mohamed Toubache-Ter, ancien responsable de la communication d’Angers SCO. Souvent bien renseigné sur les Verts, celui-ci a démenti en partie l’information de Foot Mercato.

ASSE : Mattéo Ahlinvi (Dijon FCO) ne serait pas dans le viseur du club ligérien.

Mattéo Ahlinvi ne serait pas dans le viseur de l’ASSE

Selon lui, Mattéo Ahlinvi ne ferait pas partie des cibles de l’AS Saint-Étienne. Souvent utilisé par la réserve du Dijon FCO, le milieu de 23 ans cire le banc chez l’équipe professionnelle. Avec 5 matchs disputés sous les couleurs des Bourguignons cette saison, Ahlinvi est loin de faire partie des cadres du club. La piste menant à Jodel Dossou n’a quant à elle pas été mentionnée par Mohamed Toubache-Ter.

C’est donc un nouveau coup dur pour l’ASSE, bien que le profil de Mattéo Ahlinvi n’aurait sûrement guère convaincu leurs supporters. Déçus par le niveau de jeu de leur équipe, ils attendent sans doute un joueur ayant des statistiques rassurantes pour jouer le maintien en Ligue 2. Or, Ahlinvi ne compte que 48 matchs joués dans l’antichambre de l’élite. Les doutes persistent également sur la vente du club, qui enchaîne les échecs à ce sujet. La crise est plus que jamais présente à Saint-Étienne.