C’est toujours la mousse à la surprise à l’Olympique Lyonnais, où s’enchaînent les dossiers contraignants. Cette fois, Botafogo réclame 65 millions d’euros à l’OL pour des pertes liées à des dossiers transferts.
Une grosse somme d’argent réclamée à l’Olympique Lyonnais
La bonne relation entre Botafogo et l’OL est déjà loin. C’est désormais une guerre larvée entre les deux clubs depuis le passage de flambeau de John Textor à Eagle Football Group, dont la direction est désormais assumée par Michele Kang. Mais Textor est aussi propriétaire du club brésilien Botafogo, qu’il avait d’une certaine façon lié à l’Olympique Lyonnais, notamment pour des transferts.
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À voirMercato PSG : Campos vise le jackpot pour cette pépite !En effet, avec le divorce, le club brésilien revient sur des dossiers traités à l’époque où son actionnaire majoritaire était encore l’homme fort de Lyon. Botafogo reproche à l’OL de l’avoir floué sur plusieurs transferts de joueurs. Ce sont les droits économiques sur plusieurs joueurs qui sont en cause dans cette nouvelle bataille.
La notification envoyée par les Brésiliens au club français, le 18 juillet dernier, demande à l’OL de verser 65 millions d’euros représentant des créances, des fonds avancés et des intérêts sur les dossiers Luiz Henrique, Igor Jesus et Thiago Almada. Ces joueurs, destinés à signer à l’Olympique Lyonnais, avaient provoqué une sanction de la Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG), qui empêchait l’enregistrement de nouveaux joueurs par l’OL — chose qui a poussé le club brésilien à brader ses joueurs.
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À voirMercato : le Stade Rennais recale un géant serbe !L’impact de cette situation interne à l’OL a été réel sur les finances de Botafogo, qui estime avoir perdu de l’argent. Il réclame donc un dédommagement, même si les Gones ont de leur côté perdu plus de 90 millions d’euros sur les transferts de Luiz Henrique, Igor Jesus et Thiago Almada.
Ce feuilleton bien compliqué est parti pour durer plusieurs mois, et il devrait traverser toutes les instances du football, la FIFA notamment.
