FC Nantes : Mort de Maradona, Domenech s’explique et désamorce

Il y a quelques semaines, Raymond Domenech avait fait une petite boulette en conférence de presse en s’exprimant au sujet du mercato. En évoquant la mort de Diego Maradona, l’entraîneur du FC Nantes a choqué bon nombre d’observateurs. Dans les colonnes de 20 Minutes, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France est revenu sur cet écart de langage.

Raymond Domenech fait référence à la mort de Maradona et choque

C’était au début du mercato, alors que le milieu de terrain de l’Olympique Lyonnais, Jean Lucas, était encore entre le FC Nantes et le Stade Brestois. Très vite, il est apparu que c’est vers le Finistère que le Brésilien s’envolait. Une déception pour Raymond Domenech, qui avait sorti une phrase malheureuse en conférence de presse pour commenter cet échec sur le marché des transferts. « Jean Lucas ? Je ne sais pas, je n’ai pas tout suivi. Il n’est pas chez nous, il est à Brest. J’aurais aimé prendre Maradona, mais il est mort. C’est comme ça », avait lâché l’entraîneur des Canaris. Des mots qui avaient provoqué de vives réactions, quelques jours seulement après l’arrivée du coach vivement critiqué et quelques mois après la mort de la légende argentine. Depuis, Raymond Domenech avait fait profil bas sur le sujet.

Maradona : l’entraîneur du FC Nantes se justifie

Pour le quotidien 20 Minutes, l’entraîneur du FC Nantes a tenu à s’expliquer sur le sujet. « Je ne voulais pas provoquer, a justifié Domenech. J’ai peut-être choisi le mauvais exemple. J’aurais dû prendre celui de Messi. Je voulais juste dire que nous entraîneurs, on rêve tous d’avoir les plus grands joueurs du monde. On me dit souvent de faire attention car en fait les gens ne retiennent que certaines de mes phrases et pas tout ce que j’ai dit avant. Je fais moi-même les titres avec mes déclarations. Oui, c’est un parasite, mais ce n’est ni volontaire, ni de la provoc. » Raymond Domenech, réputé pour son franc parler et ses punchlines, devrait rapidement faire de nouveau la une au fur et à mesure que le FCN s’enlise en Ligue 1.