OM Mercato : Sampaoli en remet une couche pour Valère Germain

En fin de contrat, Valère Germain a déjà annoncé son départ de l’OM. L’attaquant marseillais n’a disputé aucune minute depuis l’arrivée de Jorge Sampaoli. Le technicien argentin a justifié son choix avant un déplacement périlleux à Saint-Étienne.

Jorge Sampaoli lâche une terrible vérité sur Valère Germain

L’Olympique de Marseille s’est offert un nouvel attaquant lors du dernier mercato d’hiver. Pas satisfait du rendement de Dario Benedetto et de Valère Germain, l’OM a recruté Arkadiusz Milik dans le cadre d’un prêt avec option d’achat. Cette arrivée couplée à la nomination de Jorge Sampaoli a condamné Valère Germain au banc. Depuis la nomination du technicien argentin, l’avant-centre de 31 ans n’a plus disputé de match de Marseille. Convoqué, l’ancien monégasque se contente de cirer les bancs. Avant le déplacement de l’OM à Saint-Étienne ce dimanche, l’entraîneur marseillais a expliqué ce choix. « C’est un choix sportif, on a trois numéros 9, il progresse bien, je n’ai aucune idée des questions de contrat. Le critère, c’est que ce sont les meilleurs qui jouent », a justifié l’Argentin.

La sortie inéluctable pour Germain

Valère Germain sur le départ à l'OM

Tancé par Jorge Sampaoli, Valère Germain n’est pas aidé par ses statistiques cette saison. L’avant-centre n’a inscrit que trois buts et délivré une passe décisive en 32 matchs. Arrivé en janvier, Milik compte déjà 6 réalisations et une offrande en 13 apparitions. De quoi pousser l’ancien monégasque sur le banc. Au vu de son temps de jeu réduit, Germain a déjà annoncé son départ de Marseille au terme de la saison. Lors de l’annonce de son départ, le joueur s’était d’ailleurs montré compréhensif sur le « choix sportif » de Sampaoli. « L’OM marche bien aujourd’hui donc il n’y a aucun intérêt pour le coach de changer de système. Je le comprends très bien et tant que l’OM gagne, c’est le plus important », avait-il lancé à Canal Plus. Reste plus qu’à savoir où l’attaquant va se relancer la saison prochaine.