PSG Mercato : Leipzig et OM décisifs pour l’avenir de Pochettino ?

Mardi soir, le PSG accueille le RB Leipzig pour le compte de la 3e journée de Ligue des Champions, avant le premier Classico de la saison contre l’OM, dimanche prochain au stade Vélodrome. Deux rencontres qui pourraient compter énormément dans l’avenir de Mauricio Pochettino sur le banc du club parisien.

Circonstances atténuantes pour Mauricio Pochettino

Pour sa nouvelle édition de « Face à Pierrot », Pierre Ménès a été interrogé par les internautes sur la situation de Mauricio Pochettino au Paris Saint-Germain. Sous le feu des critiques depuis le début de la saison pour la pauvreté du jeu proposé par son équipe malgré Lionel Messi, Neymar et Kylian Mbappé, l’entraîneur argentin bénéficie de circonstances atténuantes selon l’ancien consultant de Canal+.

« Effectivement, le match contre Angers était ignoble. Ça me fait rire, je lis ‘Paris n’a pas de banc’, mais quelle équipe peut dire qu’elle a un banc quand il manque huit joueurs ? Puisqu’avec les six absents d’Amérique du Sud, Pochettino avait mis sur le banc Hakimi et Nuno Mendes. Quand il manque huit titulaires dans une équipe, c’est compliqué quand même. Ce qui est évident, c’est que les joueurs qui ont joué contre Angers ont montré qu’ils n’avaient pas le niveau, je pense à Dagba, Rafinha, Icardi », a déclaré Pierre Ménès sur son site web Pierrot le Foot.

Ménès : « On va vraiment avoir une idée plus précise du niveau du PSG »

Toutefois, le journaliste sportif estime que Pochettino pourrait réellement commencé à être jugé après les matches contre le RB Leipzig, mardi en soir en Ligue des Champions, et le Classico contre l’Olympique de Marseille, dimanche, à l’occasion de la 11e journée de Ligue 1. « Maintenant, cette semaine, ils reçoivent Leipzig et ils vont à Marseille, c’est là où on va vraiment avoir une idée plus précise du niveau du PSG et surtout de sa ligne d’attaque », a expliqué Ménès.

Sous contrat jusqu’en juin 2023, Mauricio Pochettino pourrait donc passer un hiver compliqué si le visage de son équipe ne change pas. D’autant que l’ombre de Zinedine Zidane, libre depuis son départ du Real Madrid cet été, plane toujours sur le club de la capitale.