OM Mercato : Les vérités de Payet sur sa relation avec Tudor

Dans une longue interview accordée à Prime Video, le capitaine de l’ OM, Dimitri Payet, s’est confié sur ses relations avec Igor Tudor.

OM Mercato : Dimitri Payet se confie sur sa relation avec Igor Tudor

S’il enchaîne de belles performances à Marseille, Igor Tudor a connu des débuts très mouvementés sur le banc marseillais. Arrivé l’été dernier suite au départ inattendu de Jorge Sampaoli, le technicien croate était vivement critiqué pour sa gestion du groupe phocéen. Outre sa préparation estivale chaotique, sa méthode jugée trop sévère était pointée du doigt. Il faut dire que l’ancien entraîneur du Hellas Vérone n’hésite pas à bousculer ses joueurs. Des artisans de la qualification en Ligue des Champions, tels que Gerson ou Cengiz Ünder, en ont fait les frais, tout comme Dimitri Payet.

Dimitri Payet et Igor Tudor à l' OM.

Incontournable la saison dernière, le capitaine marseillais peine à retrouver son statut de titulaire sous les ordres d’Igor Tudor, qui préfère miser sur d’autres options pour animer son secteur offensif. Une situation très compliquée pour le capitaine de l’OM. Interrogé par Prime Video, Dimitri Payet a reconnu que les méthodes d’Igor Tudor étaient dures. Sans pour autant accabler son coach, le milieu offensif assure qu’il continue de travailler d’arrache-pied pour retrouver son meilleur niveau à Marseille.

 

 

« Oui ça a été dur au début. Mais pas dur comme tout le monde le dit : « Payet-Tudor, ça passe pas ». Dur envers moi. Tu peux dire ce que tu veux. Il a des méthodes dures, il est brut, il nous rentre dedans. Mais il est entraîneur. Un entraîneur, c’est loin d’être fou. Si tu lui fais gagner des matchs, il te fera jouer. Il n’est pas fou. C’est plus envers moi même. Il faut que je fasse plus », a-t-il déclaré.

 

Dimitri Payet ne pense pas à la retraite

 

En dépit de sa situation difficile à Marseille, Dimitri Payet ne pense pas encore à la retraite. Âgé de 35 ans, le Réunionnais souhaite continuer à jouer le plus longtemps possible.

 

 

« Je ne me vois pas arrêter dans deux ans. Je ne suis pas prêt encore. J’aime trop ça. Le matin je me lève, je me dis que je vais à l’entraînement. Je n’y vais jamais en trainant des pieds. Là, c’est difficile, je prends le bon côté, je me dis qu’il ne me reste pas beaucoup de temps et qu’il faut profiter du temps de jeu qu’on me donne », a-t-il ajouté.