PSG Mercato : 600M€, une opération grandiose en cours au Paris SG

Comme annoncé par Nasser Al-Khelaïfi, le PSG pourrait ouvrir son capital à un nouvel investisseur. Une opération colossale serait en cours dans ce sens.

Interrogé sur l’avenir de QSI en Ligue 1, Nasser Al-Khelaïfi a récemment avoué que le Qatar ne compte pas se désengager totalement du Paris Saint-Germain, mais songe bel et bien à l’arrivée d’un nouvel actionnaire minoritaire. « On a acheté le club 70M€, aujourd’hui, il vaut plus de 4 milliards d’euros. On a différentes offres (…) On a eu une offre de plus de 4 milliards d’euros. Mais nous n’allons pas vendre. Mais pourquoi pas un petit pourcentage. Nous allons y réfléchir, nous avons plusieurs offres », expliquait notamment le président du club de la capitale dans les colonnes de Marca. Et aux dernières nouvelles, le champion de France en titre s’apprêterait effectivement à ouvrir son capital à de nouveaux investisseurs.

PSG Mercato : Trois candidats déjà aux portes d’Al-Khelaïfi

D’après les renseignements recueillis par Challenges, trois candidats, dont deux fonds d’investissement américain et un non-américain, se seraient déjà manifestés auprès de Nasser Al-Khelaïfi pour racheter entre 5 et 15% des parts du Paris Saint-Germain. Le média économique précise toutefois que l’un des investisseurs aurait pris de l’avance dans ce dossier, ayant fait le déplacement à Doha pour parler directement avec Nasser Al-Khelaïfi en marge de la Coupe du monde au Qatar. Toujours selon la même source, les discussions seraient avancées et le deal pourrait même être officialisé lors du premier semestre de 2023.

Cet investisseur, qui serait prêt à mettre sur la table des négociations une somme comprise entre 400 et 600 millions d’euros, mettrait déjà la pression sur Al-Khelaïfi afin que le Paris SG soit propriétaire de son stade. L’arrivée d’un nouvel investisseur, notamment américain, pourrait donc bien avoir un lien direct avec la pression mise par le Paris SG sur la ville de Paris pour le rachat du Parc des Princes puisqu’un « investisseur américain ne comprend pas qu’un club majeur ne soit pas propriétaire de son stade ».