En conférence de presse, Christophe Galtier a parlé de son admiration pour Sergio Ramos, et expliqué le temps de jeu des jeunes au PSG.
PSG : Christophe Galtier aime beaucoup Sergio Ramos
Interrogé sur l'avenir de son défenseur Sergio Ramos au PSG, Christophe Galtier a été clair : il souhaite conserver l'Espagnol l'année prochaine : "C’est un joueur hyper professionnel. Quand on a un tel palmarès à cet âge, c’est qu’on met toutes les chances de son côté. Il apporte son expérience, de la rigueur, c’est un joueur important du vestiaire". Le coach parisien a indiqué que des échanges avaient eu lieu entre la direction sportive et le joueur de 37 ans, dont le contrat prend fin le 30 juin prochain.
Le défenseur expérimenté a disputé 39 matchs toutes compétitions confondues avec Paris cette saison, et inscrit 3 buts. Une grande importance au sein du club de la capitale, notamment avec l'utilisation de la défense à 3 de Christophe Galtier et des grosses blessures de Presnel Kimpembe. "Je suis très satisfait de sa saison et de ce qu’il amène les jours de match mais aussi au quotidien. C’est un exemple, que tous nos jeunes joueurs doivent suivre" a poursuivi Christophe Galtier.
Galtier justifie le faible temps de jeu des jeunes
Christophe Galtier a également été questionné sur sa gestion des jeunes et leur intégration cette saison. Ces derniers n'ont pas forcément le temps de se montrer et l'entraîneur du PSG a tenu à se justifier : "Il y a la réalité du championnat, on a l’objectif d’aller chercher ce titre. Par rapport à des saisons précédentes, le PSG était pratiquement champion et mes collègues avaient l’occasion d’intégrer plus rapidement les jeunes. La réalité aujourd’hui, c’est qu’il y a 8 points d’avance mais ce n’est pas suffisant".
Si Warren Zaïre-Emery a disputé 20 matchs de Ligue 1 cette saison, ce n'est pas le cas de tous les jeunes. Le jeune Ismaël Gharbi par exemple, n'est entré qu'à 4 reprises en championnat. "C'est un joueur percutant et offensif, qui travaille beaucoup à l’entraînement. Après, il y a aussi l’exigence des résultats. Il y a eu des périodes où il y avait des absents mais aussi des contre-performances donc ça me paraissait difficile de l’intégrer" a expliqué Christophe Galtier.