Coup dur pour le FC Metz avant le choc face à Lille !

Le technicien du FC Metz, László Bölöni pourrait se passer de deux cadres pour la réception du LOSC Lille. Ils sont incertains.

László Bölöni vise le maintien du FC Metz

Le FC Metz défie le LOSC Lille le dimanche 28 avril 2024 pour le compte de la 31e journée de Ligue 1. Les hommes de László Bölöni ont remporté deux victoires lors de leurs trois derniers matchs et pointent à la 15e place au classement à un point d’avance sur le barragiste Le Havre.

Après une défaite sur la pelouse du Stade Brestois (4-3) à l’occasion de la 28e journée de Ligue 1, les Grenats ont glané deux succès consécutifs face au RC Lens (1-2) pour le compte de la 29e journée et contre le Havre (0-1) à l’occasion de la 30e journée.

Les Messins ne sont pas encore hors du danger. Ils doivent rafler des points pour assurer le maintien à la fin de cette campagne. Le match face au LOSC Lille s’annonce difficile.

Les Dogues sont en grande forme et rêvent de terminer la saison sur le podium et de valider le ticket pour la Ligue des Champions la saison prochaine.

Deux cadres du FC Metz incertains

En conférence de presse avant cette affiche, le technicien du FC Metz a fait le point de ses joueurs disponibles pour affronter Lille. Il déplore deux absences. László Bölöni va se passer des services de Joel Asoro et Joseph Nduquidi.

Asoro est revenu de blessure, mais il a rechuté lors de l’entraînement cette semaine. Sa participation à cette rencontre est incertaine. Joseph Nduquidi est aussi gêné par les pépins physiques. Il a contracté une blessure à la cheville.

« On pensait que tout le monde allait bien parce que Joel Asoro et Benjamin Tetteh se sont entraînés avec nous, mais Asoro a quitté l’entraînement prématurément. C’est peut-être une rechute, je ne sais pas vraiment. Il va rapidement voir le docteur afin d’en savoir plus. Il a été obligé de quitter l’entraînement. Joseph Nduquidi, sur le vélo en début de semaine, était encore à l’écart. Pour le reste, tout le monde est prêt », a expliqué László Bölöni.