ASSE Mercato : Romeyer et Caïazzo indexés pour 2 transferts cruciaux

Si l’ ASSE est en grande difficulté en ce moment, c’est la faute de Romeyer et Caïazzo, coupables de deux transferts cruciaux du club.

ASSE : les transferts de Saliba et Fofana à la base du mal des Verts ?

Lanterne rouge de Ligue 1 avec 12 points et 39 buts concédés à la mi-saison, l’ ASSE est menacée de relégation en Ligue 2. Lors des deux saisons précédentes, les Verts étaient également en difficulté. En 2019-2020, ils avaient même été sauvés par l’arrêt brutal du championnat en mars 2020, suite à la survenue de la pandémie de covid-19. L’AS Saint-Étienne était 17e à l’issue de la 28e journée de Ligue 1 quand la compétition a été interrompue. Malgré cette première alerte, la direction stéphanoise a transféré son défenseur Wesley Fofana, révélation du club malgré le résultat collectif décevant. Il a été vendu à Leicester City, le 2 octobre 2020, contre un chèque de 35 M€ hors bonus.

Dans son communiqué officiel, l’ ASSE a précisé qu’elle a été contrainte de céder le jeune arrière axial vu la crise sportive et financière due à l’épidémie de Coronavirus. Le même été 2020, William Saliba, un autre défenseur central formé au club ligérien avaient rejoint Arsenal. Il avait été transféré plus tôt à l’été 2019 contre 30 M€, mais était resté à l’AS Saint-Étienne sous forme de prêt, lors de l’exercice 2019-2020.

Romeyer et Caïazzo accusés d’ânerie par Repellini

Invité de l’émission de TL7 dans Club ASSE, Pierre Repellini a porté une grosse accusation sur Roland Romeyer et Bernard Caïazzo pour les transferts des deux pépites d’alors, sorties fraichement du centre de formation des Stéphanois. Selon l’ancien défenseur des Verts (1970-1980), les deux présidents sont responsables des difficultés actuelles de leur équipe en Ligue 1. « On avait une charnière exceptionnelle avec deux jeunes joueurs (Fofana et Saliba, ndlr), mais l’un fait aujourd’hui la pluie et le beau temps en Angleterre et l’autre est à l’OM (en prêt d’Arsenal, ndlr) qui veut le garder », a-t-il regretté, avant d’indiquer : « tant qu’on n’aura pas une épine dorsale solide, on ne pourra pas construire ».

En conclusion, Pierre Repellini a tiré à boulets rouges sur Romeyer et son associé Caïazzo. « Soit on est des ânes, soit ce sont les autres qui sont intelligents », a-t-il glissé.