PSG : Real Madrid, Florentino Pérez se paie la tête d’Al-Khelaïfi

En marge de l’Assemblée Générale du Real Madrid, Florentino Pérez a répondu aux récentes attaques de Nasser Al-Khelaïfi, le président du PSG.

PSG : Al-Khelaïfi se moque de Pérez et du Real Madrid

Également président de l’ECA (Association Européenne des Clubs), le patron du Paris Saint-Germain, Nasser Al-Khelaïfi, a récemment profité du dernier meeting de l’organisation européenne pour glisser un tacle appuyé à son homologue du Real Madrid, Florentino Pérez. Revenant sur le dernier sacre des Merengues en Ligue des Champions, alors que leur président milite pour l’instauration d’une Super League, l’homme d’affaires qatari a ironisé en lâchant notamment :

 

 

« c’est étrange que le Real Madrid célèbre le fait de gagner la Ligue des Champions, qui est la plus grande compétition de clubs du monde (…) C’est très étrange d’aller contre une fantastique compétition de clubs déjà existante, mais de participer, célébrer et profiter des titres. Je trouve que c’est très bizarre, pour être honnête. Mais nous n’allons pas perdre de temps avec ça et nous allons continuer à travailler. »

 

 

Une attaque à laquelle Florentino Pérez a répondu ce dimanche.

PSG : Florentino Pérez remet Al-Khelaïfi à sa place

Al-Khelaïfi et Florentino Pérez ne s'entendent plus.

Accompagné notamment par la Juventus Turin, le FC Barcelone et d’autres clubs européens dans le projet Super League, Florentino Pérez s’est payé la tête du président du Paris Saint-Germain et de l’ECA, Nasser Al-Khelaïfi, grand opposant à cette nouvelle compétition, qui semble totalement ignoré l’histoire du football. Devant les socios du Real Madrid, Pérez a lancé :

 

 

 

 

« le président de l’Association européenne des clubs (Nasser Al-Khelaïfi) a déclaré que le Real Madrid avait lancé la Super League parce qu’il avait peur de la concurrence. Nous devons encore lui rappeler qui est le Real Madrid ? Le club le plus titré de l’histoire », a déclaré le milliardaire espagnol de 75 ans, alors qu’une partie de l’assemblée a enchaîné : « nous sommes les rois d’Europe. »

 

 

 

 

Les relations entre les deux anciens amis sont loin de s’arranger.