PSG : Chassé du Parc des Princes, le Paris SG reçoit une offre inédite

Après la sortie musclée d’Anne Hidalgo, Maire de Paris, sur le Parc des Princes, le PSG, qui cherche un nouveau site pour déménager, a reçu une offre inédite.

En déclarant récemment dans les colonnes du journal Le Parisien : « le Parc des Princes n’est pas à vendre. Et il ne sera pas vendu. C’est une position ferme et définitive. Il s’agit d’un patrimoine exceptionnel des Parisiens », Anne Hidalgo a mis un terme aux espoirs du Paris Saint-Germain de devenir propriétaire de son propre stade.

Dans ces conditions, « le PSG est maintenant obligé de trouver des options alternatives pour relocaliser le club », selon un porte-parole du club de la capitale. Réagissant à l’actualité entourant le club, notamment au bras de fer qui oppose le Champion de France en titre et la Mairie de Paris sur la vente du mythique stade français, un nouveau candidat s’est proposé pour accueillir le futur stade des Rouge et Bleu, si le Paris SG venait effectivement à quitter le Parc des Princes.

Le PSG prêt à délocaliser en banlieue ?

D’après les renseignements recueillis par L’Équipe, la direction du Paris Saint-Germain a déjà trois idées de localisations pour le futur stade, à savoir l’hippodrome de Saint-Cloud, Poissy et le moins envisageable Stade de France. Mais Nasser Al-Khelaïfi et les propriétaires qataris de la formation parisienne pourraient finalement se diriger vers Joinville-le-Pont, où le Maire Olivier Dosne est prêt à leur céder l’espace nécessaire pour l’implantation du nouveau stade.

« J’ai un emplacement qui me fait rêver depuis longtemps, c’est de couvrir le bois de Vincennes, qui va de l’hippodrome à notre stade Jean-Pierre Garchery, on reste sur Paris et un peu comme le parc des Princes, il faudrait recouvrir le périphérique », a expliqué l’élu local au micro de France Bleu Paris avant d’ajouter :

« mais il faut que ce soit un projet écologique, il faudrait alors récupérer en terme de parking l’hippodrome de Vincennes qui est tout aménagé et en surface, il n’y aurait donc pas besoin d’en faire un. On pourra venir en RER A à l’arrêt de Joinville-le-Pont tout en restant à Paris (…) Premièrement, cela reste Paris, deuxièmement, le département du Val-de-Marne qui est juste à côté est très dynamique, il est en train d’attirer une population parisienne, il ressuscite, et ce département mérite à sa porte un grand équipement. Enfin, c’est l’histoire, Joinville, c’est le bataillon (…) Je vais écrire au club. »