Mercato FC Metz : Une offre transmise pour un buteur de Besiktas

Un buteur congolais intéresse le FC Metz qui a transmis une offre pour essayer de le recruter. Besiktas a répondu à cette proposition.

Mercato FC Metz : Aucun contact avec Jackson Muleka

À quelques jours du début du championnat de Ligue 1 face au Stade Rennais, le FC Metz cherche toujours à renforcer son attaque. Avec le départ possible de Georges Mikautadze avant la fin du mercato, les Grenats ont intérêt à doubler l’arrivée de Benjamin Tetteh d’un autre attaquant. Dans cet optique, le FC Metz a approché Besiktas pour se renseigner sur l’un de ses buteurs, Jackson Muleka. Mais les Stambouliotes n’ont pas accepté leur première offre de 3,5 millions d’euros. Metz va devoir revenir à la charge, alors qu’il n’a pas encore eu de contact avec le joueur.

Jackson Muleka intéresse le FC Metz.

Le Congolais de 23 ans, qui peut évoluer sur le front de l’attaque, sort d’une saison en demi-teinte à Istanbul. Parfois titulaire, souvent sur le banc, il n’a inscrit que 5 buts et délivré une seule passe décisive. Un bilan bien maigre pour Jackson Muleka, après une deuxième moitié d’exercie parfaitement réussie en 2021-2022, où il avait inscrit 12 buts en 14 matchs à son arrivée dans la capitale turque.

Quel avenir pour Georges Mikautadze ?

Le très prometteur buteur géorgien n’a pas encore quitté le FC Metz à ce stade du mercato. Ce qui paraissait impensable quelques mois en arrière pourrait s’avérer vrai. Et si Georges Mikautadze venait à rester ? Car depuis quelques semaines, plus personne ne semble vraiment porter d’intérêt sur son cas. Peut-être qu’une saison en Ligue 1 lui apportera la visibilité dont il a besoin ? Ou est-ce tout simplement le marché des n°9 qui n’a pas encore commencé à s’agiter ? En tout cas, le joueur est bien en forme puisqu’il a permis aux siens de s’imposer en amical contre Heerenveen (1-0) le week-end dernier.

Une chose est sûre, si les Grenats peuvent conserver leur attaquant une saison supplémentaire, ce serait un atout de taille dans la lutte pour le maintien. Pour l’heure, ils demandent près de 20 millions d’euros pour le libérer.