Kombouaré débarque, une très mauvaise nouvelle arrive pour le FC Nantes !

Le FC Nantes est officiellement de nouveau sous les ordres d’Antoine Kombouaré, officiellement présenté mardi. Pendant que les canaris s’apprêtent à entamer une course contre la montre, ils devront faire face à une très mauvaise nouvelle, qui peut faire saigner le club.

Du soutien à la déchéance pour les supporters du FC Nantes

C’est un acte symbolique plein de ferveur mais qui a coûté l’interruption d’un match de Ligue 1, le temps de quelques minutes pour une meilleure visibilité dans le Stade de La Beaujoire. La rencontre de la 26e journée entre le FC Nantes et le RC Strasbourg coïncidait avec les 25 ans de la Brigade Loire, principal groupe de supporters des Canaris.

Emmené par Jocelyn Gourvennec ce soir-là, le FC Nantes avait pour mission de se relancer à domicile face aux Strasbourgeois. Objectif non atteint puisque les canaris sont tombés de haut 3-1 devant leurs propres supporters, déjà surexcités et qui ont fini par commettre l’irréparable. En tout, ce sont 281 fumigènes qui ont été allumés.

A la 86e minute, on assiste à un très gros craquage de fumigènes de la Brigade Loire alors que Nantes s’apprêtait à tirer un coup franc. De quoi donner lieu à un brouillard de fumigènes qui a conduit l’arbitre à interrompre la rencontre avant de la relancer à la 90e minute pour aller à terme.

Une lourde amende attend le FC Nantes

Ces incidents survenus samedi pourraient coûter cher à la direction nantaise. Une lourde amende de la Commission de discipline de la LFP pourrait tomber pour le club de Waldemar Kita dans les prochains jours. Selon le règlement de la LFP, chaque fumigène est sanctionné d’une amende de 1500 euros, ce qui devrait revenir à 421 500 euros d’amende pour les 281 fumigènes allumés.

En plus de cette amende qui s’annonce record, le club nantais pourrait être aussi privé de ses supporters lors de ses prochains à domicile. Un gros coup dur pour un club au bord de la relégation, et qui cherche à se relever avec l’arrivée d’Antoine Kombouaré.