Montpellier Mercato : OM, Nice, Andy Delort a pris sa décision !

Possible partant du côté de Montpellier HSC, Andy Delort est placé dans le collimateur de l’OM et de l’OGC Nice, tous deux en quête d’un renfort offensif pour cette fin de mercato. Et d’après le journal L’Équipe, l’attaquant de 29 ans a d’ores et déjà tranché pour son avenir avec les Héraultais.

Andy Delort veut quitter Montpellier

Arrivé en 2019 en provenance de Toulouse contre un chèque de 4,5 millions d’euros, Andy Delort est lié à Montpellier HSC jusqu’en juin 2024. Mais l’international algérien pourrait ne pas honorer cet engagement jusqu’à son terme. D’après les informations recueillies par L’Équipe, lors d’une réunion entre les dirigeants montpelliérains et les représentants de Delort, vendredi, le natif de Sète a annoncé sa volonté d’aller voir ailleurs cette saison.

Nommé capitaine par l’entraîneur Michel Der Zakarian, l’ancien attaquant du SM Caen veut ainsi changer d’air alors que son nom est associé à l’Olympique de Marseille et l’OGC Nice. Toujours selon la même source, le président Laurent Nicollin, malgré la déception de l’annonce de son joueur, a accepté d’écouter les offres, mais ne compte pas brader Andy Delort.

Mercato OM, Nice : Le prix est fixé pour Andy Delort

Bien que déçue par la brusque décision de son nouveau capitaine, la direction du club héraultais ne va toutefois pas le retenir forcément. À un peu plus d’une semaine de la fermeture du mercato estival, le MHSC a décidé d’ouvrer les négociations avec l’Olympique de Marseille et l’OGC Nice. Cependant, L’Équipe précise que Laurent Nicollin ne compte pas écouter des offres en dessous de 10 millions d’euros pour Andy Delort. Une première douche froide pour les Aiglons qui ont formulé une première offre inférieure au tarif réclamé par Montpellier HSC.

Pour l’heure, l’OM n’a pas encore bougé ses pions dans ce dossier. Présent en conférence de presse vendredi, Christophe Galtier a publiquement confirmé son intérêt pour l’ancien coéquipier d’André-Pierre Gignac chez les Tigres de Monterrey (Mexique). Une communication qui n’a pas plu au président Laurent Nicollin.