OM Mercato : Alvaro au coeur d’une tension dans le vestiaire

Le vestiaire de l’ OM ne serait pas satisfait du comportement d’Alvaro Gonzalez. Cela risque de précipiter son départ définitif de Marseille.

OM Mercato : Alvaro Gonzalez devenu indésirable à Marseille

Les temps sont durs pour Alvaro Gonzalez à l’Olympique de Marseille. Relégué sur le banc de touche depuis le début de la saison, le défenseur central est désormais indésirable du côté de l’ OM. Frustré par son manque de temps de jeu, le joueur de 32 ans est même retourné en Espagne en attendant de voir évoluer sa situation. S’il espère rejouer sous le maillot de l’ OM en cette seconde partie de saison, ses dirigeants ne l’entendent pas de cette oreille.

Les dirigeants de l’Olympique de Marseille auraient déjà entamé les négociations en coulisses pour résilier son contrat. D’autant plus que l’entraîneur Jorge Sampaoli ne compte plus sur lui pour la suite de la saison. Même en absence de Leonardo Balerdi au poste de défenseur central, le coach marseillais n’a pas l’intention de revoir son jugement. Le journaliste de RMC Sport, Florent Germain, confirme cette tendance, assurant que pour Sampaoli, « Alvaro pourrait avoir une influence négative sur certains de ses coéquipiers ». Le technicien argentin approuverait cette mise à l’écart de l’Espagnol.

Une partie du vestiaire en colère contre Alvaro Gonzalez

Malgré un contrat courant jusqu’en juin 2024, Alvaro Gonzalez n’est plus en odeur de sainteté à l’Olympique de Marseille. Et selon les dernières informations du journaliste Romain Canuti, le vestiaire et d’autres membres du staff de l’ OM n’apprécient plus le comportement du défenseur espagnol depuis quelques semaines. « Alvaro s’est mis beaucoup de personnes à dos au club. Et pas seulement Jorge Sampaoli d’ailleurs (…) Mais maintenant, j’ai presque envie de dire que Jorge Sampaoli n’est pas son problème. Ça se joue au-dessus », a expliqué le journaliste du journal Le Phocéen au micro de Talk Show. De là à imaginer un départ imminent d’Alvaro Gonzalez, il n’y a qu’un pas.