Vente ASSE : Romeyer répond à la rumeur sur l’intérêt de Kretinsky

Alors que la rumeur sur un intérêt de Daniel Kretinsky pour l’ ASSE circule dans les médias, Romeyer a fait une nouvelle sortie sur la vente du club.

Vente ASSE : Roland Romeyer confirme l’intérêt de milliardaires

Daniel Kretinsky, actionnaire dans le groupe Casino, qui est un partenaire historique de l’ ASSE, serait intéressé par le rachat du club ligérien comme annoncé par le média Entreprendre. Une information jugée vraisemblable par le journaliste Didier Bigard sur son compte Twitter.

« Le milliardaire Daniel Kretinsky veut monter au capital du Groupe Casino. On parle aussi de lui pour racheter le club. Très plausible. Notons aussi les autres mouvements financiers autour du groupe et peut-être potentiellement de l’AS Saint-Etienne », a écrit l’ancien responsable des sport de La Tribune-Le Progrès.

Dans une interview sur RCF Radio, Roland Romeyer n’évoque pas directement le nom de l’homme d’affaires tchèque, Daniel Kretinsky, mais confirme l’intérêt de milliardaires pour l’ ASSE. « Il y en a plein des milliardaires ! » a t-il lâché. Le problème, c’est que je ne sais pas si ce seront des français, des étrangers… je ne sais pas qui achètera. »

ASSE : Romeyer justifie la mise en vente de Saint-Etienne

Par contre, le président du directoire de l’ ASSE fait savoir qu’aucun repreneur n’a approché la direction récemment. « De approches ? Non en ce moment. Pour l’instant, le projet c’est de se maintenir en Ligue 2 », a-t-il répondu, avant d’expliquer pourquoi lui et son associé, Bernard Caïazzo, sont à la recherche d’un investisseur pour reprendre l’ ASSE en main.

« Maintenant si on veut franchir les paliers, il faut de l’argent. Ce qui était vrai dans les années 70 ou 80 n’est plus vrai maintenant […]. Moi je voudrais quelqu’un qui puisse pérenniser le club, investir au capital, pour conserver tous les bons joueurs, renforcer l’équipe et remonter en Ligue 1. Pour les gars qui reprendront le club, il faut pouvoir faire de meilleures choses que ce qu’on a fait », a expliqué Roland Romeyer.