ASSE Mercato : Bernard Caïazzo prépare du lourd en Egypte

L’ ASSE a pendant plusieurs semaines fait de Mostafa Mohamed sa priorité offensive pour l’hiver. Au final, l’attaquant égyptien a été vendu à Galatasaray. Président du Conseil de surveillance de Saint-Étienne, Bernard Caïazzo entend explorer le marché égyptien.

ASSE Transfert : Après l’échec Mohamed, Caïazzo n’entend pas lâcher prise

Faute de pouvoir recruter Mostafa Mohamed, l’AS Saint-Étienne a accueilli Anthony Modeste cet hiver. Le buteur égyptien visé par l’ ASSE a été vendu à Galatasaray par le Zamalek. Après cet échec, Bernard Caïazzo n’entend pas abandonner le marché égyptien. Pour le président du Conseil de surveillance des Verts, le pays des Pharaons regorge d’innombrables talents. « L’Égypte regorge de bons joueurs, c’est le meilleur pays d’Afrique du Nord et d’Afrique dans son intégralité. Moi j’aimerais qu’on supervise les joueurs égyptiens mais ce n’est pas mon travail. Peut-être que je donnerai l’instruction à nos recruteurs de suivre les joueurs en Égypte », a indiqué le dirigeant stéphanois dans un entretien à El Captain.

La nouvelle pique de Caïazzo au Zamalek

Marqué par le transfert avorté de Mostafa Mohamed à l’ ASSE, Bernard Caïazzo a de nouveau chargé le Zamalek. Il ne comprend pas pourquoi le club égyptien a cédé son buteur à un club qui offre moins de garanties financières. « Nous avons proposé 5 millions de dollars cash […] Et soyons honnêtes, Galatasaray ne paye pas rapidement et avec souplesse. Pour négocier un contrat avec Mostafa Mohamed, ils ont vendu un joueur et ils veulent en vendre un autre, l’Algérien Sofiane Feghouli », a-t-il déclaré. Il faut dire que le club cairote n’avait pas apprécié l’ultimatum lancé par Roland Romeyer pendant les négociations. Il avait mis fin aux discussions avec le pensionnaire de Ligue 1 suite aux menaces de son président. Au final, le Zamalek s’est contenté d’empocher près de 2 millions d’euros pour le prêt de son buteur. Un autre chèque estimé à plus de 4 millions d’euros devrait parvenir si la formation turque venait à lever l’option d’achat dont elle dispose.