OL : La sortie fracassante d’Aulas après la défaite à Paris

L’Olympique Lyonnais s’est incliné contre le Paris Saint-Germain (1-2) dimanche en clôture de la 6e journée de Ligue 1. Président l’ OL, Jean-Michel Aulas l’avait mauvaise après la rencontre.

Le coup de gueule du président Auals après le revers de l’ OL

 

Gros coup d’arrêt pour l’Olympique Lyonnais. Alors qu’il restait sur trois victoires de rang, dont un dernier succès de prestige contre les Rangers Glasgow en Ligue Europa, Lyon s’est incliné en championnat. L’ OL a subi une petite remontada sur la pelouse du Paris Saint-Germain (1-2) pour l’affiche de la 6e journée de Ligue 1 Uber Eats. Lucas Paqueta a donné l’avantage aux Gones avant que Neymar Jr (sur penalty) puis Mauro Icardi dans le temps additionnel n’offrent la victoire au PSG. Après la défaite de Lyon, Jean-Michel Aulas a pesté contre le penalty accordé à Paris. « On est très fiers de nos joueurs ce soir. On a réussi à bien gêner cette équipe du PSG. Le penalty est une aberration. Le VAR aurait dû intervenir. La décision n’est pas normale. Les joueurs ne méritaient pas de perdre. On va être revanchards », a lâché le président lyonnais au micro d’OLTV.

 

La frustration de Peter Bosz

Peter Bosz l'a mauvaise après Neymar Jr

Comme Jean-Michel Aulas, Peter Boasz conteste le penalty accordé au Paris Saint-Germain. «Ce n’est pas Malo qui fait la faute, il [Neymar] a la main sur lui, ce n’est pas la faute de Malo, c’est la faute à Neymar, c’est Neymar qui fait la faute […] Honnêtement, au bord du terrain, je pensais que c’était Malo qui faisait faute mais en regardant le ralenti, on voit que ce n’est pas Malo », a lancé l’entraîneur de l’ OL à Prime Video. À défaut d’une victoire, le technicien néerlandais espérait tout au moins un match nul contre le PSG. « C’était un vrai match où on a essayé de bien jouer au ballon, où on a mené 1-0, et, à mon avis, on ne mérite pas de perdre. Mais à la fin, si tu ne peux pas gagner le match, il ne faut pas le perdre », a déclaré le coach de l’Olympique Lyonnais.