ASSE : Gaëtan Charbonnier évoque la concurrence en attaque

Avec la recrue Ibrahim Sissoko, la concurrence fait déjà rage à l’ASSE en pointe de l’attaque. Gaëtan Charbonnier l’évoque.

ASSE : Grosse concurrence en pointe de l’attaque de Saint-Etienne

L’ASSE a bien comblé le départ de son buteur Jean-Philippe Krasso. Les Verts ont recruté Ibrahim Sissoko pour se renforcer en pointe de l’attaque. Le Franco-Malien n’a certes pas le même profil que l’international ivoirien, mais Laurent Batlles apprécie bien son profil.

« Ibrahim est un attaquant de surface qui sait aussi prendre la profondeur. C’est un peu un mix entre ses deux nouveaux coéquipiers, Ibrahima Wadji et Gaëtan Charbonnier. Je suis très content d’avoir ce profil dans l’effectif », avait souligné l’entraîneur de l’AS Saint-Etienne, lors de la signature de la première recrue estivale des Verts. Comme il l’a rappelé, Laurent Batlles compte désormais trois avant-centres dans son équipe. Il va donc devoir trouver la combinaison la plus efficace pour sa composition cete saison.

Gaëtan Charbonnier pense être complémentaire avec Wadji et Sissoko

Gaëtan Charbonnier

Revenu de blessure après cinq mois d’absence, Gaëtan Charbonnier s’est prononcé sur la concurrence à son poste, avant le lancement du championnat de Ligue 2, samedi. Il pense pouvoir s’adapter au profil de ses deux coéquipiers, comme il l’avait fait avec Jean-Philippe Krasso. « Jean-Philippe n’est plus là, mais Ibrahim Sissoko est arrivé, Ibrahima Wadji est toujours là… Il y a des profils différents, mais complémentaires. Quant au système, ça ne change pas grand-chose pour moi », a rassuré l’attaquant de 34 ans dans une interview accordée au site de la Ligue 2.

Le duo Jean-Philippe Krasso-Gaëtan Charbonnier avait bien fonctionné, avant la blessure de l’ancien buteur de l’AJ Auxerre, comme il l’a rappelé. « Sur mes premiers mois à Saint-Etienne, Jean-Philippe avait un peu le même registre que moi. Lui aussi aime bien décrocher et participer au jeu. Il le faisait très bien et il avait déjà ses repères, donc j’allais moins dans le cœur du jeu et je restais un peu plus haut pour fixer les défenseurs et lui laisser des espaces. »