Stade Rennais : État d’urgence décrété au SRFC après Nice !

En clôture de la 11e journée, le Stade Rennais s’est incliné sur le terrain de l’OGC Nice ce dimanche soir. Pour le capitaine Benjamin Bourigeaud, il y a urgence au SRFC.

Benjamin Bourigeaud : « Forcément qu’il y a urgence » au SRFC

Rien ne va au Stade Rennais. Après onze journées de Championnat, l’équipe de Bruno Genesio enregistre son quatrième match sans victoire. Le SRFC occupe la 11e place au classement avec deux points d’avance sur le barragiste, le FC Metz, et à huit points de retard sur le quatrième, le Stade de Reims. Tout logiquement, la situation commence à inquiéter comme l’a clairement exprimé Benjamin Bourigeaud, agacé après la défaite à Nice (2-0), dimanche soir, à l’Allianz Riviera.

Surtout que les Rouge et Noir s’illustrent par le même manque de réalisme offensif et de grosses erreurs défensives depuis quelques mois. « Forcément qu’il y a urgence, on enchaine les contre-performances. Ce sont toujours les mêmes constats », lance le milieu de terrain de 29 ans au micro de Prime Video avant d’appeler à l’union pour remonter la pente.

Benjamin Bourigeaud : « On doit rester soudés entre nous »

Avec 12 points en 11 journées, le Stade Rennais réalise l’un de ses pires débuts de saison au 21e siècle. À ce stade du Championnat, le club breton n’a fait moins bien qu’une seule fois, lors de la saison 2002-2003 avec 8 points et une 19e place. Le SRFC était tout de même parvenu à se maintenir dans l’élite au terme de la saison. Benjamin Bourigeaud estime donc qu’il est plus qu’important de rester soudé pour renverser la tendance actuelle.

« Dans ces moments difficiles, on doit rester soudés entre nous, avec le staff, les joueurs, les supporters aussi même si je sais qu’il y a beaucoup de frustration. On est les premiers frustrés quand on sort de ces matchs. C’est une défaite qui fait mal puisqu’on était venus avec de bonnes intentions. Quand on manque d’efficacité dans le football, on ne peut pas espérer mieux », a ajouté le partenaire de Ludovic Blas.