Toulouse FC Mercato : Garande donne sa réponse pour Koné

Depuis plusieurs jours des rumeurs circulent autour du jeune milieu de terrain du Toulouse FC, Manu Koné. Agé de 19 ans seulement, il attire déjà les convoitises des grandes clubs. Parmi eux l’AC Milan, leader du championnat italien qui serait déterminé à recruter le jeune Toulousain.

Forcing de l’AC Milan

Malgré les rumeurs insistantes qui font état d’une offre de l’AC Milan à 5 millions d’euros pour Manu Koné, l’entraineur du Toulouse FC, Patrice Garande, ne donne pas de confirmation mais n’exclut rien pour autant. Mardi le bien informé journaliste italien Gianluca Di Marzio avait confirmé qu’une offre avait été faite au mercato, mais qu’elle restait loin des prétentions du Toulouse FC qui lui souhaiterait un prix autour des 10 millions d’euros. L’AC Milan voudrait se renforcer à ce poste dès cet hiver et le joueur serait a priori titulaire directement si le transfert se fait. Un point qui a son importance, sachant que Manu Koné a vu son temps de jeu réduit en Ligue 2 depuis décembre au profit de Branco van den Boomen.

Le Toulouse FC ne parle pas de vente

En conférence de presse, Patrice Garande s’est exprimé au sujet de cette information, dans des propos rapportés par le média Toulousain Les violets.com : “Il n’y a jamais eu de communication du club qui disait qu’il pouvait partir. Si vous dites qu’il “pouvait partir”, cela sous-entend que le TFC serait susceptible de le laisser partir. Je vous le dis tout de suite : la réponse est non. Après, c’est plutôt valorisant et plutôt flatteur que nos jeunes joueurs soient sollicités par l’extérieur.” Patrice Garande a continué en précisant que rien n’était exclu pendant la fenêtre des transferts, laissant planer le doute quant à l’avenir du joueur. « On ne peut empêcher les gens de discuter puisqu’il y a une période légale où les clubs et les agents peuvent faire des choses et, notamment, contacter des joueurs, à condition que ce soit fait légalement (…) Ce n’est pas parce qu’il y a des propositions que nous sommes obligés d’y répondre.”