ASSE : Un favori se dégage pour le rachat de Saint-Étienne

Le nouveau propriétaire de l’AS Saint-Étienne se fait toujours attendre. Alors que le projet de rachat de l’ ASSE est à la traîne, un prétendant se démarquerait tout de même de ses concurrents.

Grosse révélation dans le dossier de vente de l’ ASSE

Actuelle lanterne rouge de Ligue 1 Uber Eats, l’AS Saint-Étienne connaît un début de saison compliqué. Le club ligérien paye en partie son été morose durant lequel il n’a recruté qu’un seul joueur en prêt et n’a réalisé aucune grosse vente. L’ ASSE espère tout de même se revigorer avec l’arrivée d’un nouveau propriétaire. Après 17 ans de présidence, Bernard Caïazzo et Roland Romeyer souhaitent en effet passer la main à la tête du club du Forez. Jusqu’ici, trois projets font l’objet d’une étude auprès de KPMG, le cabinet mandaté pour gérer la vente de Saint-Étienne. Seulement, deux candidats semblent désormais en retrait dans ce projet.

Markarian désormais seul en lice ?

L'ASSE en attente d'un repreneur

À la suite de L’Équipe, But Football assure que Norodom Ravichak envisagerait de renoncer au rachat de l’AS Saint-Étienne. Le prince du Cambodge n’apprécierait pas le traitement dont son dossier fait l’objet auprès des instances de l’ ASSE. Celles-ci émettent en effet des réserves sur l’origine des fonds à la disposition du prince cambodgien. Lequel n’a pas totalement accès à la data room comprenant les données comptables des Verts. Contrairement à l’entrepreneur asiatique, Terrapin Partners a accès à la data room du club ligérien. Mais son projet jugé similaire à celui de King Street chez les Girondins de Bordeaux aurait de quoi refroidir le duo Caïazzo-Romeyer.

Pour But, seul Olivier Markarian semble bénéficier des bonnes grâces des dirigeants stéphanois. « Le projet de reprise de l’ASSE porté par Olivier Markarian n’a pas vraiment de concurrents pour l’instant, selon nos informations », indique le média en ligne. Toutefois, les coprésidents de Sainté n’excluraient pas de faire appel à un investisseur doté de plus de moyens. Le nom de Peak6 est d’ailleurs évoqué par le quotidien sportif.