OL Mercato : Une officialisation tombe pour deux défenseurs

OL Mercato : Patron du recrutement de l’Olympique Lyonnais, Bruno Cheyrou s’est montré ferme pour deux pépites lyonnaises.

OL Mercato : Cheyrou ferme la porte à deux Baby-Gones

L’Olympique Lyonnais attend de nouvelles ventes après le transfert de Léo Dubois. L’arrière droit tricolore va tenter de se relancer à Galatasaray. D’autres éléments comme Houssem Aouar, Lucas Paqueta, Jérôme Boateng ou encore Moussa Dembélé sont annoncés sur le départ cet été. Si ces joueurs confirmés sont partis pour quitter l’ OL, Bruno Cheyrou ne compte pas céder certaines pépites. Interrogé sur OL Play, le responsable du recrutement de Lyon a fermé la porte à Malo Gusto et Castello Lukeba. L’arrière droit et le défenseur central ont été les révélations du club la saison dernière. Le premier ayant même relégué Dubois sur le banc. Respectivement encore sous contrat jusqu’en 2024 et 2025, les deux cracks ne disposent pas de bon de sortie comme l’a fait savoir le responsable rhodanien.

La porte est fermée pour Gusto et Lukeba

Malo Gusto et Castello Lukeba intransférables

« Castello et Malo ne bougeront pas. Même s’ils peuvent attiser la convoitise, ce qui est normal, il n’y a pas eu d’offre et on ne veut pas en recevoir. On veut construire un projet autour de l’ADN OL, de la formation, de la jeunesse et ils rentrent dans ce cadre-là. Mais à un moment donné, au vu de leurs performances et de leur âge, on risque d’avoir des propositions très importantes. Pour le moment, il est hors de question d’y penser », a confié Bruno Cheyrou.

Baby-gone également très convoité, l’avenir de Rayan Cherki reste encore flou avec l’Olympique Lyonnais. L’attaquant de 19 ans n’a pas encore donné de suite favorable à l’offre de prolongation de son contrat. Son bail avec son club formateur expire dans un an. Sachant que la direction lyonnaise n’entend plus laisser filer les joueurs formés au club gratuitement, elle pourrait donc envisager un transfert de Cherki cette année. Une tendance confirmée ces dernières heures par les confrères du journal Le Progrès.