ASSE : Incroyable, les Verts ont payé la casse de Yann M’Vila

Yann M’Vila a quitté l’ASSE lors du mercato estival pour l’Olympiakos, faisant partie de l’opération de dégraissage des Verts. Parti libre, le milieu de terrain de 30 ans n’a pas laissé que des bons souvenirs à l’AS Saint-Etienne, qui a dû passer à la caisse avec le Français, et pas uniquement pour lui payer son salaire.

Yann M’Vila à l’ASSE, bilan mitigé

L’histoire entre Yann M’Vila et l’ASSE ne s’est pas particulièrement bien conclue. Le milieu de terrain de 30 ans a passé deux ans et demi dans le Forez, arrivé en janvier 2018 en provenance du Rubin Kazan en Russie. Après avoir assuré le maintien à l’issue de la saison 2018-2019, Yann M’Vila a pris par à la belle saison des Verts l’année suivante, qui les a vus prendre une quatrième place synonyme de Ligue Europa. Peu à peu, l’ex-international est devenu indésirable aux yeux de Claude Puel, avec qui les relations ont été difficiles. Il a fini par l’être complètement après un live Instagram durant le confinement du printemps, où il avait allumer son entraîneur et sa direction. Au terme de son contrat, la porte lui a été montrée. Il évolue désormais en Grèce, à l’Olympiakos.

L’ASSE a payé pour les accidents de voiture de M’Vila !

Mais le nom de Yann M’Vila est ressorti ce mercredi du côté de l’ASSE, dans un dossier de RTL consacré à l’amour des voitures par les footballeurs. Et parfois la mauvaise conduite, dans tous les sens du terme. Une anecdote étonnante a été raconté par la radio : « Et quand l’assureur fait défaut, c’est le club qui compense. En janvier dernier, Yann M’Vila a accroché six ou sept bagnoles avec sa Bentley, dans les rues de Saint-Etienne. C’est l’ASSE qui a dédommagé les victimes pour étouffer l’affaire. » Une sacrée révélation pour un joueur qui coûtait déjà cher aux Verts. Pas étonnant, après ce genre d’épisodes, que la direction stéphanoise ait pris la décision de se débarrasser de Yann M’Vila. Et RTL, de conclure : « Andy Delort, interpellé en récidive après une course poursuite du côté de Montpellier aurait lancé aux policiers : « Je m’en bats les couilles, je gagne 150 000 euros par mois. » Ce qu’il conteste, mais sur le fond, c’est un sentiment assez partagé. »