OM Mercato : Alvaro Gonzalez de retour en Espagne, ce qui coince !

L’épineux dossier Alvaro Gonzalez continue de faire l’actualité à l’ OM. Annoncé vers un retour en Liga, le défenseur espagnol est encore loin de quitter Marseille.

OM Mercato : Alvaro Gonzalez, un salaire qui pose problème

L’Olympique de Marseille s’apprête à vivre une fin de mercato très mouvementée. Après avoir enrôlé deux nouvelles recrues cet hiver, la direction de l’ OM essaie désormais de dégraisser son effectif. Et l’un des joueurs les plus cités parmi les possibles partants est bien Alvaro Gonzalez.

Âgé de 32 ans, le défenseur espagnol a perdu son statut de titulaire sous les ordres de Jorge Sampaoli, qui préfère miser sur d’autres options défensives pour composer sa défense. Absent des plans de l’entraîneur argentin, Alvaro Gonzalez devra donc aller voir ailleurs s’il souhaite trouver plus de temps de jeu en cette seconde partie de saison.

Dernièrement, un retour en Espagne semblait même se dessiner pour le principal concerné. Osasuna, Valence et Levante sont récemment venus toquer à la porte de l’Olympique de Marseille pour un éventuel prêt d’Alvaro Gonzalez. Mais le salaire du défenseur espagnol, estimé à environ 220 000 €, pose problème. Raison pour laquelle les club espagnols souhaiteraient que l’ OM prenne en charge une partie de son salaire en vue de faciliter son transfert. Sauf que ce type de transaction ne semble pas vraiment plaire aux Marseillais. Si la situation ne s’améliore pas, Alvaro Gonzalez devrait finalement terminer la saison à Marseille.

Bordeaux insiste pour Alvaro Gonzalez

De leur côté, les Girondins de Bordeaux n’ont pas encore tiré un trait sur le dossier Alvaro Gonzalez. Le club au scapulaire souhaite recruter le défenseur marseillais et s’active toujours pour le convaincre de quitter Marseille afin de rejoindre la Gironde cet hiver. Cette mission s’annonce compliquée, mais pas impossible. D’autant plus que la direction marseillaise semble prête à faciliter le départ de son joueur au FCGB en vue de réduire sa masse salariale. Les Bordelais devront cependant se montrer très convaincants pour arracher la signature du principal concerné.