PSG : Après Ramos, Keylor Navas victme d’un gros coup dur

PSG : À l’image de l’Espagnol Sergio Ramos, Keylor Navas a reçu une mauvaise nouvelle de sa sélection à quelques mois du Mondial.

PSG : Les malheurs s’enchaînent pour Keylor Navas

Keylor Navas est dans le dur au Paris Saint-Germain. L’ancien portier du Real Madrid doit se contenter d’un rôle de remplaçant depuis l’arrivée de Christophe Galtier. Au vu de son nouveau statut dans l’effectif parisien, le gardien costaricain disposait d’un bon de sortie cet été. Mais ni Naples ni l’Olympiakos n’ont réussi à boucler la signature de Navas. Le club parthénopéen a été refroidi par les prétentions salariales du portier de 35 ans. Lequel n’était guère intéressé par un challenge du côté de la Grèce. Les malheurs s’enchaînent pour le Sud-américain resté à quai cet été. Absent du groupe de Galtier pour le déplacement contre le Maccabi Haïfa mercredi en Ligue des champions, l’ancien Madrilène vient de recevoir une autre mauvaise nouvelle. Comme son coéquipier Sergio Ramos, il passera la trêve internationale dans la capitale.

La liste du Costa Rica sans Navas

Encore une mauvaise nouvelle pour Keylor Navas

Le nom du gardien remplaçant du Paris Saint-Germain ne figure pas sur la liste du sélectionneur du Costa Rica. Luis Fernando Suarez n’a pas fait appel à Keylor Navas pour les matchs amicaux de la sélection nationale contre la Corée du sud puis l’Ouzbékistan. Relégué sur le banc au PSG, l’international costaricain (107 sélections) n’a encore disputé aucun match cette saison. Ce qui pourrait donc justifier son absence de la liste de son sélectionneur. Cette non-convocation n’est pas de bon augure avant la prochaine Coupe du monde. Le Costa Rica est logé dans la poule E aux côtés de l’Espagne, l’Allemagne et du Japon.

Reste maintenant à savoir la situation de Navas à Paris va s’améliorer d’ici le Mondial. Conseiller sportif des Rouge et bleu depuis cet été, Luis Campos poussait pour un départ du Sud-américain. Interrogé par RMC Sport, le Portugais a notamment indiqué qu’il n’était pas acceptable de disposer de deux gardiens de classe mondiale au sein d’un même effectif.