L1 (29e j.) Pierre Ménès de Canal + roule pour le PSG, « Quel secours de poids et de notoriété ! »

 

Pierre MENES

J.L. Triaud, le président des Girondins de Bordeaux, a déjà longuement commenté, n’a guère, l’incompétence notoire de P. Ménès, régulièrement pris à parti de ci de là d’ailleurs et qui se complait dans une attitude victimaire comme disent les spécialistes de ce qu’on appelle la « résilience ».

Cette incompétence, maintenant, elle est au service des séquences « Les Spécialistes Ligue 1 » en compagnie de J.M. Larqué, d’ailleurs.

Hier, après le match contre le PSG, M. P. Ménès n’a cessé de fustiger l’attitude de l’ASSE et notamment de Brandao qu’il vilipende depuis le début de l’année. Je cite

« Tout ce que je vois, c’est qu’il a passé son temps à faire des fautes et à mettre des coups du début à la fin du match. Sa conduite est lamentable … »

M. P. Ménès croit nécessaire de défendre un golden boy pourri, gâté par la vie, appelé D. Beckham, dont le jeu a été encensé sur le plateau de Canal +, dimanche soir, alors que ce jeu est proche du néant : passes sans risque, coup francs insignifiants à 20 m à deux reprises, appui incessant sur Matuidi qui se tape tout le boulot pour M. Beckham.

Daniel Bravo a cru nécessaire, lui aussi, de faire son mea culpa, hier soir, pour avoir osé mettre en doute la qualité de jeu de Sa Majesté David Beckham !

M. Ménès déclare, au sujet de Beckham : « …je n’ai pas le souvenir de l’avoir vu péter un plomb sur un arbitre comme hier soir. »

De la sorte, il a été très peu question, dimanche soir, de la qualité de ce match mais uniquement des incessantes récriminations contre les arbitres.

Pour des raisons qu’il est difficile de concevoir, M. P. Ménès sévit dans de nombreux medias écrits et sur une chaîne à péage donc soumise à l’exigence de ses clients. Nous sommes beaucoup à en avoir marre de son écriture défaillante, bourrée de fautes de langue, de contre sens et de ses interventions hors de propos et intempestives à l’antenne.

On ne voit pas, dans ces conditions, quel bénéfice représente pour le PSG, la défense par P. Ménès, d’une équipe qui était aux abois, hier, en seconde mi-temps, à l’image de ses dirigeants s’éclipsant dans la pénombre après le match !